Étiquette : mes maux de maman

Critique un jour… Critique toujours !

Long time, no blabla… Je sais, je sais… my bad !

J’avais décidé de reprendre l’écriture à la rentrée sur une note positive. Oui la rentrée est déjà bien entamée 😮 et c’est pourtant un constat, une simple généralité, que j’ai envie d’évoquer et de partager aujourd’hui en reprenant mon clavier.

Non Foresti, ne nous a pas tout dit ( la vilaine 😀 ), en plus du contrat de confidentialité à la maternité, en devenant mère, tu signes également une autorisation tacite, celle de la critique.

Non, malheureusement, aucune mère n’y échappe!

De façon impromptue, dans un magasin, un supermarché, un restaurant, en repas de famille, avec des ami(e)s, dans la rue, … et même sous ton propre toit ! En tant que mère t’y as juste droit… c’est comme ça!

Les anciens, les moins anciens, les jeunes parents, les jeunes, et même les gens sans enfants… oui, un avis, tout le monde en a.

TON ENFANT, TU ALLAITERAS … trop, ou pas assez, trop longtemps ou pas assez longtemps, pas correctement ou, encore pire, pas du tout !

DE TON ENFANT, TU T’OCCUPERAS … trop, pas assez, ou encore, pas comme il faut !

Et j’en passe …

UN REGRET aujourd’hui ? Oui, servez m’en un SVP ! Celui de ne pas m’être assez écoutée.

Mamans en devenir, jeunes accouchées et jeunes mamans, sachez que vous serez inévitablement critiquées, alors permettez-moi un petit conseil aujourd’hui : faites comme au mois de mai … Ce qu’il vous plait ! 😉

critique maman

Le silence, mon ami… ou presque !

D’aussi longtemps que je me souvienne, j’ai toujours aimé le bruit, le mouvement, les discussions, la musique à fond les ballons…

Autrefois craint, j’avais pour habitude de meubler le silence. Pourtant, depuis l’arrivée de mon premier petit, de par sa rareté, le silence est soudainement devenu un allié, même un ami ! Et j’en ai découvert les bienfaits !

Se présentant subitement, de durée aléatoire, comme un drapeau blanc hissé pendant les siestes ou les nuits de mes petits, le silence marque une trêve, une invitation à un temps de repos, à une sieste éclaire ou simplement à profiter d’un moment pour moi… Un court moment bénéfique avant de retourner les voir car se pointe l’inquiétude de s’assurer qu’ils vont bien… 😥

Un phénomène paranormal prend ainsi place car il multiplie la beauté de mes petits !

Mon dieu, qu’est-ce que je les aime, mais qu’ils sont beaux… quand ILS DORMENT !!!

C’était sans compter sur l’évolution de mon premier petit, qui, depuis quelques temps, m’offre des périodes de silence éveillé. Et, en général, le silence va de pair avec le développement de ses idées. Oui depuis quelques mois, quand il est debout, le silence de mon fils est devenu SUSPECT ! Et je me trompe rarement :

– Titi qu’est-ce que tu fais ?
– Dééééééééé béééééééttttttiiiiiiiiiiiii* (NDLR : toi qui n’est pas bilingue Titi, je t’offre la traduction « des bétises » 😉 )

Ce que j’aime aussi chez mon fils ??? Son honnêteté !!! 😀

quote

La vérité sur le fin de la grossesse : joies et peines

Etrangement, ce n’est pas le séjour à la maternité qui a marqué la fin de ma grossesse mais bien le retour à la maison. Je préciserais même que c’est en déposant mon deuxième titi au sein de son nid que la place s’est faite, au milieu de nous, et autour de lui.

QUE DU BONHEUR qu’ils disaient… Ouais ouais !

Outre l’incontestable bonheur d’avoir mon petit bout et de le savoir en bonne santé, la fulgurante descente d’hormones et le passage de « femme chouchoutée » à « dernière roue du carrosse » sont, parfois, un peu rudes.

J’ai donc décerné aléatoirement un TOP 10 pour illustrer la fin de la grossesse et le début de la maternité :

– Ré-apprendre à se tenir et à marcher normalement malgré le poids de la grossesse (non, le mot n’est pas faible)
– Etre sur les starting-blocks H24 pour les réveils diurnes et nocturnes de bébé (armée de couches, de lait, de tétines…)
– Découvrir et s’émerveiller encore et encore des traits de son bébé
Devenir amie avec la machine à laver, la chouchouter et la solliciter à toute heure (parce que si elle lâche, c’est la fin des haricots)
– Avoir un bébé toujours propre et frais (qui va de pair avec la bonne santé de ta machine à laver)
– Etre fraîche, habillée, maquillée et disponible pour les visites du bébé (oui, si tu avais un doute, les gens sont venus voir ta merveille, pas ta trombine)
– Apprendre et comprendre la langue bébé (Mon titi, t’as mangé, t’es propre, t’as dormi, tu es dans les bras de maman, mais que t’arrive-t-il encore ?)
– S’inquiéter, s’inquiéter… encore s’inquiéter et surveiller le nouveau-né (pas de pleurs en 2 heures, est-ce qu’il respire encore ?)
Dormir à nouveau sur le ventre ENFIN !
– Abandonner le régime de grossesse, manger et boire à nouveau DE TOUT !!!

Sur ce, bon appetit !!!

manger post grossesse

Crédit photos : Céline Charlès de Kopines

Le séjour à la maternité

Trois semaines après ce séjour, je pense avoir maintenant le recul nécessaire pour poser des mots sur ce séjour si particulier.

Oui, car bien loin d’un séjour aux Maldives, le séjour à la maternité commence dans le stress, la douleur et l’incertitude. Pour rappel on est là pour accoucher, pas pour se refaire une beauté… le début de ce séjour est donc, en soi, déjà compliqué !

Et c’est suite à l’arrivée d’un nouveau bébé que débute officiellement ce séjour. Je n’entrerai pas dans les détails d’un accouchement éprouvant, ni des douleurs persistantes, ni du nouveau rythme de bébé à intégrer, ni la chute et la hausse consécutives d’hormones… non, pendant le séjour à la maternité, il faut rapidement s’habituer, se découvrir et VEILLER !!! J’ôte de suite un doute… On est pas là pour se reposer !!!

accouchement

Je disais donc « VEILLER »… Oui, car pendant 3-4 jours, le mode « veille » est enclenché, il y a une série de tests effectués sur la maman et son bébé, le rappel des soins, du bain, des couches à changer et l’heure importe peu. L’horloge à la maternité est comme arrêtée, les nuits et les jours n’existent pas, on vient vous examiner et prendre la température à toute heure, avec, en prime, un avis différent par situation, par professionnel rencontré, ponctué de visite des étudiant(e)s sage-femme qui viennent apprendre leur futur métier…

C’est un séjour plein de doutes, de sensibilité, avec une certaine fatigue accumulée, au travers des tests passés avec plus ou moins de succès, les réveils impromptus de bébé, les nouveaux tests, les visites, les visiteurs et leurs remarques… (sinon ce serait beaucoup moins drôle !).

– Mon dieu, la tête que tu as !!! T’es blanche / t’es jaune / t’es crevée / …

– Tiens, j’ai pensé à toi, je t’ai ramené un petit quelque chose, je me suis dit que tu allais vouloir perdre du poids après ça… tiens, je t’ai ramené… des POMMES ! :-/

Plus tard ce jour (ou cette nuit), à 4h00, quand on aura réveillé pour la enième fois mon bébé, interrompant mes 2 heures de sommeil pourtant méritées, je n’aurai qu’une envie, celle de pleurer… ma pomme à la main pour me réconforter!!!

Conseils pour plus tard, après tout ce qu’une jeune accouchée vient d’endurer et vit à la maternité, le régime alimentaire imposé pendant des mois, ne PAS lui parler de sa sale tête, ne JAMAIS penser à sa place et lui ramener TOUT ce qui peut lui faire plaisir !!! Quant aux remarques, vraiment, autant les garder pour soi !!! A bon entendeur… ! 😉

Comment expliquer à mes enfants ?

En ce jour de deuil national, suite aux attentats du 13 novembre 2015 à Paris, je fais une petite trêve de mon récit de maman pour exprimer une grande interrogation…

Mes garçons ont, à ce jour, respectivement 21 mois et 13 jours. Ils ne comprennent pas les informations martelées par les média ni les images diffusées en boucle à la télévision. Comment vais-je, plus tard, leur relayer les horreurs qui viennent d’avoir lieu à Paris ? Comment leur faire comprendre que nos sourires puissent quitter nos visages pour laisser place à l’incompréhension et la peur ? Que notre devise de « liberté, égalité, fraternité » puisse être ébranlée ? Quels mots mettre sur les maux qui envahissent notre pays et notre monde ? Comment, simplement, leur expliquer que l’être humain puisse en arriver là ?

Mon seul souhait ? Que ces événements ne fassent plus partie de notre quotidien quand ils seront en âge de comprendre… et en parler au passé !

marianne deuil national

Il est arrivé ainsi … Mon deuxième petit !

Annoncé depuis quelques jours déjà, c’est au milieu de la nuit que sa venue m’est confirmée… A moi de tirer la sonnette d’alarme et réveiller mes deux premiers hommes pour « courir » l’accueillir.

En cette nuit (…de lune totalement quelconque by the way), nous voilà donc sur le départ pour la maternité. Son arrivée est imminente, il sera parmi nous cette nuit…

…OU PAS !!! En effet, c’est seulement plusieurs heures après la levée du jour, que mon fils a décidé de rejoindre notre nid.

Et ainsi, dès sa venue au monde, en quelques fractions de secondes seulement, il a bouleversé mon coeur, l’agrandissant comme il l’avait fait de mon ventre, bousculant à nouveau mes priorités, me délestant du superflu et de l’inutile…

C’est à travers cet incroyable voyage ponctué d’indescriptibles vagues de douleur, de chaleur, de douceur et de bonheur que mon deuxième petit a, à nouveau, chamboulé ma vie !

Bienvenue Titi <3 !!!

cigogne baby boy

grossesse et lune

La grossesse et la lune

Vous avez certainement entendu parler du fait que les phases lunaires avaient une influence sur la terre et même notre comportement. Outre la corrélation indéniable que l’on peut observer entre la lune et le niveau des eaux sur notre planète (notamment les marées), il paraitrait que les soirs de pleine lune, des phénomènes étranges se produisent.

En top 5 : une repousse plus rapide des cheveux et des poils, un pic de violence, d’insomnies, mais aussi une tendance à favoriser la sortie des loups-garous et l’accouchement des femmes enceintes… Laissons de côté de côté l’énigme (pourtant passionnante) sur les loups-garous pour nous concentrer sur notre sujet de prédilection du blog !

La grossesse et la lune… Quel rapport ?

Selon les croyances populaires le changement de phase de la lune influe sur le liquide amniotique qui entoure le bébé dans le ventre de sa maman, provocant donc un pic d’accouchement des femmes qui approchent du terme.

Aussi, ayant accouché un soir de lune noire pour mon premier petit, j’ai consulté le calendrier lunaire pour cette année 2015… et il s’avère que la prochaine pleine lune… bah c’est demain ! 0_0.

Vérifions donc la véracité de cette croyance… En attendant, pour emprunter une expression à Gad Elmaleh… « Je suis en suspense ! »

don cordon ombilical

Le don du cordon ombilical

Un article un peu plus sérieux aujourd’hui pour appuyer un acte pratiqué mais encore peu connu : le don du cordon ombilical… Enfin, plus exactement : le don de sang de cordon ombilical.

Je m’explique… Dans les instants qui suivent l’accouchement, une fois le cordon coupé, il est possible de prélever le sang présent dans le cordon ombilical et dans le placenta. Le prélèvement ne modifie en rien les gestes médicaux de l’accouchement, est totalement indolore et ne présente aucun risque ni pour le bébé, ni pour la maman… donc parfait pour les femmes qui ont la hantise de la piquouse comme moi 😉 ! De plus, le cordon et le placenta sont habituellement détruits peu après l’accouchement… Alors pourquoi hésiter ?

Pourquoi donner le sang de cordon ombilical ?

Ce sang est précieux car il contient des cellules souches semblables à celles présentes dans la moelle osseuse, capables de reconstituer un système sanguin. Il peut aider à guérir plus de 80 maladies, notamment des cancers du sang.

Ce don est anonyme, ne coute rien, est utile pour faire avancer les recherches et peut servir à sauver des vies. Il n’y a donc pas à hésiter !!!

Les maternités où donner sur Montpellier :
– CHU – Arnaud de Villeneuve
– Clinique Clémentville
– Polyclinique Saint-Roch

Pour plus d’informations, je vous invite à consulter la section du site de l’agence de biomédecine dédiée à ce sujet et vous renseigner sur les maternités du Réseau Français de Sang Placentaire proches de chez vous. Et n’oubliez pas de faire part de votre décision dès votre arrivée à la maternité ;-).

Et bon courage !!!

Plus la date de l’accouchement approche, plus la compassion des gens se fait sentir… Au cas où je l’aurais oublié, la majorité des personnes ressentent l’utilité de me rappeler que l’échéance est proche, mais aussi… que je vais en baver! Comme si, cet accouchement allait me transformer à jamais. Cela se traduit le plus communément lors des aurevoirs, par un grossissement des yeux de mon interlocuteur fixant mon ventre, un rictus apparent, un pincement des dents et ces quelques mots « … ET BON COURAGE » !

Pour varier de cette pratique récurrente, il y a aussi la méthode forte, la lourde… l’intrusion dont font preuve certaines femmes pour t’accaparer quelques temps à l’écart et, ni vu ni connu, te livrer les détails les plus intimes de leur accouchement.

Moi, j’en ai 3… 3 boucheries…, attends que je te raconte…

Une corrélation entre le nombre d’enfants et le manque de pudeur par rapport aux détails livrés ? Pas forcément… J’ai recensé quatre types de personnes :
– Les grandes diplômées de la grossesse (genre Grossesse +3) qui ont un parfait souvenir de toutes leurs propres anecdotes …
– Les femmes n’ayant eu qu’un enfant mais qui connaissent ABSOLUMENT TOUT des grossesses et des accouchements en général et… vont te le démontrer par A+B !
– Les femmes qui n’en ont pas eu mais racontent les boucheries qu’elles ont entendu chez les autres…
– Certains hommes (qui n’ont pas accouché je vous rassure) mais veulent absolument partager les détails de l’accouchement de leur moitié…

Pour cette grossesse-ci, j’arrive parfois à dissuader mes interlocuteurs en brandissant fièrement ma carte JOKER : mon diplôme Grossesse +1.

C’est mon deuxième enfant, non vraiment, j’ai déjà une petit idée de ce que je vais traverser, j’ai pas trop envie de connaitre TOUS les détails, … non VRAIMENT !!! MAIS VRAIMENT!!! POURQUOI TU VEUX PAS COMPRENDRE ???!!!

Malgré l’expression sur mon visage (que je crois pourtant assez prononcée), rien n’y fait, une fois lancés, rien n’arrive à décourager ces narrateurs qui semblent éprouver une grande fierté à se présenter comme des survivors ou des encyclopédies de grossesse. Mais pourquoi, mon dieu… POURQUOI ??? C’est exactement pour ça que je n’aime pas les films d’horreur… Plus j’ai d’information, plus ça me fait peur !

Au final je crois que je me contenterais dorénavant de la petite révérence lors des aurevoirs … A bon entendeur *Grossissement des yeux + rictus apparent + pincement des dents* « … ET A BIENTOT » 😉 !

Valise maternité : mes recommandations !

Lors de ma première grossesse, quelques mois avant l’accouchement déjà, mon état se rapprochait de ça …

stress grossesse

(Merci Céline de Kopines pour l’illustration 😉 )

… avec, en stress numéro 1, la préparation de la chambre de bébé et de la valise maternité. Comme quoi, à travers les grossesses, les priorités divergent! Cette fois-ci, ayant déjà entamé le dernier mois, et après avoir essuyé quelques soufflons, j’avoue que la chambre de bébé n’est toujours pas prête et je me décide à reprendre la liste et préparer les valises pour la maternité…

Et vu les surprises de mon premier séjour, cette année, j’ai décidé de la revisiter !

Pour commencer, il faut 2 valises distinctes, une petite pour la salle d’accouchement et une grande pour le séjour (en réalité, j’en ai même trois à préparer mais je n’évoquerai pas ici celle que je constitue pour mon premier petit).

POUR LA SALLE D’ACCOUCHEMENT

Pour la maman :
– 1 tee-shirt court en coton ou 1 veste de pyjama (manches courtes)
– Des garnitures périodiques et un slip jetable (tu as un doute ? Ne l’aies pas, t’occupes… tu en auras besoin!)
– 1 brumisateur (si j’ai douté quant à l’utilité de cet objet, mon homme, lui, m’a avoué l’avoir utilisé pour lui même… Autant être sympa et soulager tout le monde 😉 )

Pour le bébé :
– 1 serviette et 1 gant de toilette
– 1 body en coton
– 1 brassière
1 2 pyjamas (taille 0 ET 1 mois, tu ne sais pas quelle taille bébé fera en sortant)
– 1 paire de chaussettes ou de chaussons
– 2 couches
– 1 bonnet
– 1 couverture polaire

POUR LE SEJOUR

Pour la maman :
4 serviettes de toilette
4 chemises de nuit ou pyjamas
1 Peignoir ou robe de chambre
Plein de garnitures et slips à usage unique (t’occupes j’ai dit…)
– Séchoir à cheveux (oui, oui!!!!)

En cas d’allaitement :
– Des vêtements ouverts sur le devant
– Soutien-gorge d’allaitement
– Coussinets
– Pommade (pas sexy, mais utile)

Pour le bébé :
– Une serviette de toilette par jour
1 3 bodies en coton par jour
1 3 brassières en laine par jour
1 3 pyjamas par jour
1 3 paires de chaussettes ou chaussons par jour
– 2 ou 3 bonnets
1 2 ou 3 turbulettes
– Nécessaire pour le change (couches, produit lavant, coton, …)

Pourquoi je triple les quantités ? Parce que le bébé n’attend pas, il régurgite dès son arrivée, autant prévenir que guérir, t’auras les éléments en triple, et ça t’évite d’utiliser tout ton stock dès le premier jour !

Et voici en complément ma touche personnelle… Cette année, j’ajoute et recommande

– le doudou pour le bébé
– 2 sucettes
– pharmacie pour bébé (sérum physiologique, éosine, biseptine, compresses)
– 1 cadeau pour mon ainé
– 1 tenue habillée pour maman (un pantalon confortable et un haut hein… pas un tailleur, juste histoire d’être présentable pour les visites)
– 1 tenue de sortie
– Des chaussettes et une paire de chausson
– Des soutien-gorge
– Des mouchoirs
– Nécessaire de toilette habituel (brosse à cheveux, brosse à dents, dentifrice, gel douche, savon, shampooing… et toute crème / pommade sexy utilisées depuis les derniers mois 😉 )
– La trousse à maquillage (c’est pas parce que tu as accouché qu’il faut se négliger… oui t’auras une sale tête, mais avec un trait d’eye liner et un coup de blush !)
– 1 sac à linge sale
– 1 chargeur de portable
– 1 appareil photo peu encombrant
– 1 stylo (toujours utile pour remplir les papiers)

Et une chemise avec les papiers que je garde maintenant avec moi en toutes circonstances

– le dossier obstétrique et anesthésique pour cette grossesse
– le dossier d’inscription à la maternité
– le numéro d’allocataire CAF
– la carte de groupe sanguin
– le livret de famille
– la carte de sécurité sociale
– la carte de mutuelle

Ben quoi ? C’est pas parce qu’on va accoucher qu’on ne doit pas être organisée… De suggestions ? Je suis open !
Allez je file, j’ai du pain sur la planche ! 😉

Crédit photo : Céline de Kopines

Loading...
X